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SCHIZANDRA - METABOLISME RÉGULÉ

Le schizandra, aussi appelé wu wei zi dans la pharmacopée chinoise, est une plante adpatogène utilisée depuis des millénaires dans les médecines traditionnelles russes et chinoises. Ses baies aident à la protection de l’organisme dans sa globalité ainsi que celle du foie. Son objectif : réguler l’ensemble des fonctions de l’organisme.

Les baies de schizandra sont très utilisées en médecine traditionnelle chinoise. Son nom chinois veut dire fruit aux cinq saveurs, car elle combinerait tous les goûts : aigre, sucré, salé, piquant et amer. Dans la tradition chinoise, cette notion signifie que les baies auraient le pouvoir d’harmoniser cinq éléments qui sont le bois, le feu, la terre, le métal et l’eau, et donc, les cinq organes correspondants qui sont le foie, le cœur, la rate, le poumon et le rein.

SCHIZANDRA ET CONSOMMATION DE VIANDE DIMINUÉE

Le schizandra aide à l’équilibre de l’organisme.

Les baies de Schizandra sont riches en vitamines A, B6, C, E et en oligo-éléments tels que le germanium, le sélénium, l’iode et le zinc et mènent une activité anti-toxique grâce à leur haute teneur en lignanes (schizandrine, déoxyschizandrine, gomisione, etc.).

Les baies de schizandra recèlent des substances actives capables d’agir de façon sélective en fonction des besoins de l’organisme. En effet, son action générale permet une réduction du stress physique et émotionnel ainsi qu’une augmentation de l’énergie disponible, d’une plus grande résistance à l’effort physiques et intellectuel, de même que d’une normalisation des fonctions nerveuses. Grâce à ses grandes propriétés adaptogènes, le schizandra est un véritable allié des transitions de vie qui tendent à modifier et donc perturber l’équilibre de l’organisme.

AUTRES PROPRIETES DU SCHIZANDRA

Le schizandra, plante souvent utilisée en Chine dans le traitement des hépatites, est reconnue aujourd’hui en France comme étant hépatoprotecteur. En effet, lors d’une étude menée par Monsieur Hikano, médecin de l’Université d’Osaka, deux des lignanes qu’elle contient ont été identifiés comme capables d’être transformés par des bactéries présentes dans l'intestin, en substances de type hormonal. Il a pu en découler que ces substances auraient une influence sur la prolifération des cellules malignes hépatiques et sur la neutralisation de la peroxydation des lipides entrainant des lésions graves au niveau du foie.